La puissance du capitalisme s’alimente des critiques qui lui sont adressées. Après la critique sociale et la critique artiste déjà bien documentées (Boltanski et Chiapello, 1999), nous avons tous repéré la montée en puissance de la critique écologique et sa conversion en green washing. Le capitalisme régulé à la marge se rend un peu moins insupportable, l’intensité de ses défauts est réduite et, coup de maitre, il en tire profit financièrement. Aujourd’hui, une dynamique semblable se déploie face à la critique politique du travail en régime capitaliste...
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Julien Charles
Auteur
coordinateur de recherches au Cesep et chargé de cours à l’UCLouvain
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