À l’heure où la Belgique se voit condamner pour non-respect de ses obligations quant à la prise en charge des demandeur.euses d’asile, où des milliers d’exilé·es sont livré·es à elleux-mêmes dans des lieux d’occupation insalubres, se préoccuper de la santé mentale des exilé·es n’est pas un luxe superflu. Il est le reflet d’une société qui, même en temps de crise, ne se résigne pas à se retrancher sur elle-même, mais entend faire du respect du bienêtre et de la dignité de tous·tes une boussole de sa raison d’être.