La différence de traitement politique entre déplacé·es ukrainien·nes et candidat·es à l’asile ne peut qu’interroger. Du délit de solidarité, à la mobilisation en ligne ou celle des femmes sans papiers, en passant par l’accueil en apparence généreux réservé aux réfugié·es ukrainien·nes, nous ouvrons des voies de réflexion et de critique permettant d’envisager des perspectives à la fois plus justes et égalitaires, mais aussi plus rationnelles.