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1943 en Belgique occupée : année de bascule ?
2023. Depuis plus d’un an, les forces armées russes sont entrées en Ukraine. Missiles, grenades, roquettes et drones dévastent le pays et font de nombreux morts parmi les civils. Une partie de l’Ukraine est occupée depuis 2014 : la péninsule de Crimée et certains territoires des oblasts de Donetsk et de Louhansk. Tout est mis en place pour les russifier, notamment en misant sur une partie de la population qui est russophone. Le géant russe cherche à étendre sa domination sur l’ensemble du pays au nom d’un impérialisme qui, au regard d’autres empires, a provoqué maintes dévastations, comme le montre l’histoire de l’Europe depuis des millénaires. Au XXe siècle, les agresseurs étaient les empires centraux : l’Autriche-Hongrie et, plus particulièrement, l’Empire allemand. La soif de grandeur qui anime les despotes investis d’une mission mortifère a provoqué à deux reprises l’attaque de la Belgique, pays neutre, en 1914 et en 1940. En une génération, les troupes des deuxième et troisième Reich allemands ont franchi la frontière qui sépare les deux pays ; la ligne des forts autour de Liège et le long de la Meuse n’a pas résisté contre l’envahisseur supérieur en armes et en hommes, et un régime d’occupation a été établi en Belgique pour quatre ans et demi au cours de la Première Guerre mondiale d’aout 1914 à novembre 1918 et plus de cinq ans pendant la Deuxième Guerre mondiale, de mai 1940 à septembre 1944 sur une large partie du territoire belge et jusqu’à mai 1945 pour les Ardennes étant donné la controffensive de la Wehrmacht.
2023. Depuis plus d’un an, les forces armées russes sont entrées en Ukraine. Missiles, grenades, roquettes et drones dévastent le pays et font de nombreux morts parmi les civils. Une partie de l’Ukraine est occupée depuis 2014 : la péninsule de Crimée et certains territoires des oblasts de Donetsk et de Louhansk. Tout est mis en place pour les russifier, notamment en misant sur une partie de la population qui est russophone. Le géant russe cherche à étendre sa domination sur l’ensemble du pays au nom d’un impérialisme qui, au regard d’autres empires, a provoqué maintes dévastations, comme le montre l’histoire de l’Europe depuis des millénaires. Au XXe siècle, les agresseurs étaient les empires centraux : l’Autriche-Hongrie et, plus particulièrement, l’Empire allemand. La soif de grandeur qui anime les despotes investis d’une mission mortifère a provoqué à deux reprises l’attaque de la Belgique, pays neutre, en 1914 et en 1940. En une génération, les troupes des deuxième et troisième Reich allemands ont franchi la frontière qui sépare les deux pays ; la ligne des forts autour de Liège et le long de la Meuse n’a pas résisté contre l’envahisseur supérieur en armes et en hommes, et un régime d’occupation a été établi en Belgique pour quatre ans et demi au cours de la Première Guerre mondiale d’aout 1914 à novembre 1918 et plus de cinq ans pendant la Deuxième Guerre mondiale, de mai 1940 à septembre 1944 sur une large partie du territoire belge et jusqu’à mai 1945 pour les Ardennes étant donné la controffensive de la Wehrmacht.